Soirée 100% vinyles #7 – Soul 60′s & funk
Première soirée 100% vinyles de la rentrée au tube gastrique avec LUCIE ENJOY YOURSELF, MAMBO, KALU et KNY.
Première soirée 100% vinyles de la rentrée au tube gastrique avec LUCIE ENJOY YOURSELF, MAMBO, KALU et KNY.
Diggin’ a sorti son EP Antoher Logic en avril dernier et a déjà le titre City Knight sur Couleur 3. Antoher Logic, à la frontière de la soul, l’indie-pop, dans un atmosphère groovy lofi, le groupe nous apporte une nouvelle logique de penser le music business. Diggin’ nous prépare un clip et plus encore ! A ne pas manquer en 2023.
20 ans déjà que les cinq complices de Climax balancent avec ferveur et ironie leur rock sauvage et décalé. Enfants illégitimes de Franz Ferdinand et Philippe Katerine, ils jettent toutes sortes de pavés dans la mare des tendances, conjuguant allègrement flûte traversière et gros amplis, vocoder et guitares graisseuses, pour livrer une musique baroque et sans complexes, profonde et déjantée.
Début 2023, ils livrent «Sentimental», leur cinquième album: dix titres essentiellement en français, passant du rock à la soul, de la pop-disco au hard blues teigneux.
Dans la foulée, apôtres infatigables d’un univers musical à haute teneur scénique, ils remontent sur les planches.
Ariane Roy est une jeune autrice-compositrice-interprète de la ville de Québec. Elle s’éclate avec des mélodies pop alternative décomplexées, portées par la richesse d’une plume et d’une voix d’une étonnante maturité. Sacrée Révélation Radio-Canada 2021-2022, elle mise sur les contrastes et la spontanéité autant dans ses chansons que sur les planches. Dotée d’un naturel désarmant et rafraîchissant derrière sa guitare, elle promet d’en mettre plein la vue, entourée de ses quatre musiciens, avec son spectacle medium plaisir, mis en scène par l’artiste LUMIÈRE.
En mars 2020, l’artiste fait paraître son premier EP, AVALANCHE (n.f.), de façon indépendante, et récolte une nomination dans la catégorie EP Pop au Gala alternatif de la musique indépendante du Québec (GAMIQ). En octobre 2020, la finaliste aux Francouvertes 2020 dévoile la chanson, Ta main, accompagnée d’un premier vidéoclip, réalisé par Adrian Villagomez, qui lui vaut le prix du Jury lors du premier tournoi des clips des Rendez-vous Québec Cinéma et sa première nomination au Gala de l’ADISQ et au Prix JUNO dans la catégorie Vidéoclip de l’année. Cette chanson et la pièce Ce n’est pas de la chance lui permettent d’être finaliste pour le Prix de la chanson SOCAN deux années consécutives. En 2021, elle remporte le prix Slaight Music pour un auteur-compositeur en émergence du Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens. Son premier album officiel, medium plaisir, est sorti le 11 février 2022 sur l’étiquette La maison fauve.
Crédit photo Gaëlle Leroyer
Avez-vous déjà rencontré une personne timide mais bavarde, drôle mais mélancolique, bordélique mais organisée? JOKO chante ses contradictions et celles des autres, dans la langue de son enfance, l’anglais.
Élevée par deux chanteurs d’opéra et guidée par les lumières de noël, Michel Gondry et les Spice Girls, elle essaye de savoir qui elle est à travers sa musique. Elle écrit, compose et chante une pop crue, sentimentale et envoûtante. Pop, rock, soul, organique, électronique, elle les veut tous!
Instinctive et autodidacte, Joe Bel donne ses premiers concerts seule à la guitare. Née d’une famille cosmopolite, traversée par les émotions de la soul, de la folk et du rock qui tournent sur les vinyles familiaux, elle trouve très vite dans l’écriture une aide indispensable pour traverser les épreuves et se dépasser quoiqu’il arrive. Mais c’est seulement après avoir donné naissance à son fils qu’elle ose monter sur scène pour la première fois.
Après une tournée avec Asaf Avidan et son second EP en 2015, la chanson « Hit the Roads » est choisie pour la campagne de publicité Longchamp réalisée par Peter Lindbergh, puis c’est le réalisateur de cinéma Cyril Gelblat qui lui demande d’interpréter à l’écran une chanteuse en devenir dans son film « Tout pour être heureux » avec Manu Payet. Les médias s’amourachent du timbre savoureux de Joe : C à vous, Frédéric Taddeï chez Europe 1, Pascale Clark chez France Inter la réclament. Télérama, Rock & Folk, Elle, L’Express lui consacrent des articles élogieux.
C’est au Québec, à Montréal, qu’elle réalise son premier album « Dreams » avec Marcus Paquin (The National, Arcade Fire). Entre folk et soul, français et anglais, « Dreams » est un album d’amoureuse, qui vit entre fascination, possession et désir de liberté, plus que tout. Ce nouvel opus dessine les contrastes intérieurs de son auteure, dévoilant ses doutes et ses élans, à l’instinct, entre rêve et réalité. Un premier disque envoûtant d’honnêteté et de sensibilité, vibrant, vrai et solaire qui pourrait bien être l’une des heureuses surprises de la rentrée 2018.
Forte de ces nombreuses expériences qui lui ont permis de gagner en maturité, Danitsa souhaite désormais s’affirmer artistiquement en réalisant son premier album. À la fois aboutissement de son parcours jusqu’à présent et nouvelle étape de sa carrière, ce projet revêt pour elle une grande importance.
Pour le mener à bien, elle a décidé de travailler avec le producteur et musicien Felix Landis du groupe LIPKA, qui l’accompagnera dans les processus d’écriture, d’arrangement et de réalisation instrumentale. L’album sera lui publié sur le label genevois Evidence Music, avec qui elle a déjà collaboré à plusieurs reprises.
La Canadienne Basia Bulat naît au sein d’un foyer sensible à la musique. Elle apprend le piano avec sa mère, professeure de musique, puis se frotte à tous les instruments qui lui tombent sous la main. En 2006, l’auteure-compositrice-interprète entre en studio avec un groupe dont fait partie son frère Bobby, batteur. Avec l’aide du producteur Howard Bilerman, Bulat enregistre les chansons qui composeront son premier album, Oh, My Darling. Séduit par sa voix d’alto – rappelant parfois Tracy Chapman -, la prestigieuse étiquette britannique Rough Trade lui offre un contrat. Dans la foulée, la musicienne part présenter ses pièces en tournée. Le matériel d’un 2e album, Heart of My Own (2010), voit le jour sur la route, notamment lors d’un bref séjour au Yukon. Tall Tall Shadow suit en 2013. Installée à Montréal l’année suivante, elle signe Good Advice en 2016.
VERNISSAGE
Il s’agit d’un groupe né en 2012 à la Vallée de Joux (dans une grange, semble-t-il) de la rencontre de quatre talents. Raphaël Noir, qui a grandi dans la région et fait ses griffes sur divers claviers, au contact du batteur aux multiples talents Luc Ramu (ils se sont par la suite retrouvés sur scène avec Jérémie Kisling), Sophie Kummer-Noir, tombée dans le RnB quand elle était toute jeune, et fondatrice-soliste du Glo-Gospel, et enfn Chris Durussel, guitariste dont la palette va du rock au jazz, en passant par la chanson et les spectacles de danse contemporaine. Ces quatre dingues de musique, qui pratiquent la scène depuis plus de 15 ans, souvent en compagnie de musiciens réputés, ont décidé de se consacrer à une musique qui groove et nous charme : la soul. Pour cela, ils se sont faits compositeurs/arrangeurs, et chacun a puisé son inspiration dans le meilleur de son vécu musical. Le résultat est un premier album enregistré en 2013, produit par Xavier Dromard : Gran Paradise qui sort cet automne, accompagné d’une série de concerts. Pas de grands concepts avant-gardistes ni de provocation snob. « We just play music ! » De quoi se faire son petit road movie sur la route des vacances !
Vous avez sûrement déjà dandiné sur un de ses sets groovy puisque DJ Phil est un habitué de l’Usine à Gaz. Il a mixé dans une cinquantaine de clubs en Suisse et à l’étranger et occupe parfois la résidence de ceux-ci. Ce passionné de musique est équipé d’une collection de vinyles impressionnante, comprenant de nombreux collectors et autres disques rares. Grâce à une culture musicale très riche, il réalise des sets polivalents entre funk, soul, jazz, hip hop old school et house.
David le Deunff n’est peut-être pas un rocker pur souche, d’autant qu’il s’est notamment fait connaître de par son implication dans l’excellent groupe de rap français Hocus Pocus qu’il a intégré en 2005. Pour autant, l’homme a toujours fait preuve d’un éclectisme à toute épreuve, s’inspirant autant du blues, du reggae et du rock que des musiques du monde avec son premier groupe Rebellion. De plus, pour ceux qui ne les connaissent pas, les Hocus Pocus ne pratiquent pas n’importe quel type de rap, s’inspirant bien plus volontiers de la scène des années 1990 (soit l’âge d’or du hip-hop, avec des groupes comme A Tribe called quest, The Roots ou Jurassic 5) et de son sens de la mélodie que de Booba (le groupe s’est formé en 1995). Tout comme les autres membres d’Hocus Pocus, David le Deunff s’est investi dans divers projets et sort son premier EP solo sous son propre nom, produit par son acolyte 20Syl (membre de Hocus Pocus et de C2C, qui produit le EP en question). Pas vraiment du rock donc, mais toujours une envie d’ailleurs, de ne pas s’imposer de barrières, et surtout une qualité de compositeur qui fait qu’il serait dommage de ne pas toucher un mot de cet excellent EP, dont la chronique aurait autant sa place sur le webzine reggae qu’ici (d’autant que Le Deunff a récemment fait la première partie de Steel Pulse).
Il décrit sa musique comme étant un mix de melancolic pop, de modern soul et de dance music. Le producteur de musique et de films bernois s’intéresse d’abord au hip-hop avant de découvrir la soul des 60’s et des 70’s. « C’est comme regarder derrière le rideau du hip-hop et comprendre quelles-en sont les racines… ça a changé ma vie ». Accompagné par un batteur et un guitariste sur scène, il fait honneur à des titres d’hier et d’aujourd’hui en les revisitant subtilement pour leur donner une nouvelle direction. Le Guardian de Londres le qualifie en ces termes : “Comme The Avalanches et DJ Shadow avant lui, Pablo Nouvelle applique les techniques de production du hip hop aux méthodes classiques d’enregistrement de la pop et de la soul, coupant et recontextualisant pour obtenir des effets ahurissants”. Un premier concert immanquable pour commencer cette année sereinement !
Dès son plus jeune âge, Kendra Morris découvre son envie de chanter. Elle grandit en Floride et se passionne alors pour des artistes comme Marvin Gaye, Stevie Wonder ou les Jackson 5. Aujourd’hui basée à New York, la chanteuse se situe quelque par entre Dusty Springfield et Amy Winehouse. Sur son premier album, « Banshee », on retrouve sa voix suave sur des mélodies entêtantes et son désir d’en découdre avec les fantômes de la soul.
Suite au très remarqué “Misunderstanding”, le duo a signé son deuxième album “Transparency”, sous la houlette de Christophe Calpini. Entre rock engagé et pop dilettante, 12 titres qui invitent à la R-évolution intérieure, à l’unité, au besoin de transparence. L’écoute de ce disque nous sort des schémas de la musique formatée actuelle, on voyage dans un univers original et authentique.
Vous avez sûrement déjà dandiné sur un de ses sets groovy puisque DJ Phil est un habitué de l’Usine à Gaz. Ce passionné de musique est équipé d’une collection de vinyles impressionnante, comprenant de nombreux collectors et autres disques rares. Grâce à une culture musicale très riche, il réalise des sets polyvalents entre funk, soul, jazz, hip hop old school et house.
La relève genevoise est peut-être à portée de moustache avec ce club des cinq nouvelle génération. Ils reviennent en terre vaudoise avec leur nouvel album, Sitting On Your Face.
Après un premier album “Roughs” enregistré à Philadelphie avec Larry Gold et les musiciens de Jill Scott et The Roots, Jailyna, auteure, compositeur, travaille sur son 2ème album dont le premier single “Rise” est actuellement sur les ondes. Jaïlyna – chant / guitare, Franco Casagrande – guitare, Yann Marguet – beat box.
Site http://jailyna.com