Rodeo Sunset est une danse, une vague céleste, un cri du cœur. Une mise à nu imprégnée de sonorités psychédéliques et organiques. Portées par le chant des guitares et le rythme des claviers, les voix s’élèvent et s’embrassent dans un écho envoûtant, tissant des histoires de rêves et de mémoires lointaines.
The Fur Coats are a psych-soul-pop band from Portland, Oregon fronted by American sweethearts Chris Karl and Betty. Their lineup includes members of Wampire, Charlie Hilton and Reptaliens.
A swaggering live act, The Fur Coats have gained considerable local following since their inception some five years ago. Following the self-release of their EP, Desperate, the band has been getting regular local radio play, was featured on the PDX POP NOW! compilation and music festival, and toured Europe in the Spring of 2017. They recently impressed NPR with their Tiny Desk Contest entry and were reviewed on the All Songs Considered blog. The Fur Coats just released a series of three singles, conceptualized in shifting the collective perspective from dark to light. Look for the full EP, titled “Mirror Gazing”, scheduled to be released Summer of 2018!
Through his modern kaleidoscope and at the command of his handmade guitar, Laurentz Lozano, mastermind and sensitive heart of The Yelins, plunges us into the abyss of psychedelic rock that blends itself with finesse to the instant beauty of its pop melodies.
Go!Zilla est un groupe italien d’Acid Psychedelic Punk basé à Florence, composé de Luca Landi (guitare/chant), Fabio Ricciolo (Batterie/chant) et Mattia Biagiotti (guitar/chant). L’inspiration de Go!Zilla va des compiles psychédélique Nuggets aux guitares grunges, le tout dans une forte attitude punk. En juin 2012, le groupe a sorti un premier EP chez Valcola records, suivi de « I’m Bleeding », un 45 tours sorti chez Surfin Ki records. Leur premier album, « Grabbing a Crocodile » est sorti le 15 novembre 2013 chez Rough Trade, Warner Chappell et Black Candy records. Activistes d’une scène garage-psyché européenne incandescente, ils ne laissent jamais indemne leur public toujours étonné qu’un son aussi survolté soit porté par de réelles subtilités mélodiques.
“The Besnard Lakes nous vient tout droit du Canada (Montréal) dont le groupe tire son nom des lacs de la province du Saskatchewan. Mené par le couple Lasek/Goreas, le combo est entre de bonnes mains. À tel point qu’il a déjà été nominé deux fois pour la remise du très mythique Polaris Music Prize sans l’obtenir toutefois. Revendiquant des influences tirées tant du post-rock que des Beach Boys, le quatuor a toujours su captiver son monde y compris des pointures du rock québecois. Certains membres de Godspeed You Black Emperor – pour ne citer qu’eux – n’ont en effet pas hésité à collaborer avec le groupe. En forme et bien entouré, après deux demi-succès médiatiques, le combo va-t-il enfin dépasser cette pseudo-reconnaissance du milieu et obtenir la place qu’il mérite ?” lordsofrock.net/the-besnard-lakes/
Le son de Silver Firs n’est pas si facile à classer. Ils combinent des éléments de folk, psychédélisme et rythmes tropicaux et ont une affinité évidente aux percussions de la world music. Le groupe s’est formé en 2011 et pratique ce que l’on appelle le “Do It Yourself”. Ils enregistrent alors un premier EP qui trouve un joli succès notamment en Amérique du Nord. Signé sur l’excellent label OH, SISTER RECORDS aux côtés de Labtrador City, Zigitros et Wavering Hands, le groupe travaille actuellement sur son prochain EP.
Après le Paléo et le Jval, Evelinn Trouble revient nous présenter son quatrième album solo “The Great Big Heavy”. Rendant hommage au rock des années 1960, la jeune zurichoise n’hésite pas à sortir des sentiers faciles: elle enregistre ses morceaux en live au moyen d’un magnétophone analogique. Pop, rock psychédélique, blues, Evelinn Trouble surprend sur scène en offrant des performances sauvages et électrifiées. Son dernier clip témoigne de cet état d’esprit.
On n’est pas peu fier de pouvoir vous présenter ce jeune hollandais, âgé d’un quart de siècle seulement, qu’on surnomme déjà le fantôme de Syd Barett. Fasciné par cette période de la fin des sixties, il a composé son « Cabinet Of Curiosities » avec l’espoir de le voir un jour trôner parmi les chefs-d’œuvre qui l’ont marqué. Quelque part entre le « Sgt Pepper Lonely Hearts Club Band » des Beatles et « The Piper At The Gates Of Dawn » de Pink Floyd. Un immanquable de la saison, même si c’est un lundi !
Super Forma, le dernier album en date de Orval Carlos Sibelius est ce qu’on peut appeler un disque essentiel, d’une beauté si rare qu’elle repousse les limites du réel. C’est un trip sinueux dans les méandres du psychédélisme, un voyage hallucinant vers une destination surnaturelle, un plongeon aveugle dans un océan de bonheur, une ivresse acide impalpable. Oui on aime. Et hop : coup de cœur !