Degurutieni (JP) – decadend decay
Degurutieni is a collision of soulful raspy vocals, junk roots, toys,horns, electric guitars and industrial rhythms.
Degurutieni is a collision of soulful raspy vocals, junk roots, toys,horns, electric guitars and industrial rhythms.
Pembrokeshire-born, London-based Bryde aka Sarah Howells, is a girl and an electric guitar playing fierce and fragile songs. Swaying from vulnerable to uncompromising within one verse and chorus, Bryde’s music is honest and furiously authentic.
En collaboration avec Les Hivernales
Originaire de Paris, Marie Flore est une chanteuse que vous voudrez écouter en boucle…Avec son univers prenant et ses morceaux pop-folk, elle manie les mélodies et les rythmes comme peu de jeunes musiciennes arrivent à le faire. Son premier album, « By The Dozen » sorti en septembre dernier, a déjà fait des ravages auprès de la presse française. Voilà une artiste aux multi facettes qui risque bien de vous surprendre…
Après le Paléo et le Jval, Evelinn Trouble revient nous présenter son quatrième album solo “The Great Big Heavy”. Rendant hommage au rock des années 1960, la jeune zurichoise n’hésite pas à sortir des sentiers faciles: elle enregistre ses morceaux en live au moyen d’un magnétophone analogique. Pop, rock psychédélique, blues, Evelinn Trouble surprend sur scène en offrant des performances sauvages et électrifiées. Son dernier clip témoigne de cet état d’esprit.
Dans le circuit depuis l’âge indécent de 16 ans, d’abord avec son premier groupe girly grunge power Skirt puis avec son projet Kassette, la Fribourgeoise Laure Betris est au rock suisse ce que le verre de rouge est au repas. Une nécessité. Elle ressort du bois en 2013 avec un troisième album sombre et tranchant enregistré sous la houlette de Christian Garcia (Velma, Meril Wubslin) et avec des musiciens triés sur le volet. On retrouve l’infatigable Sacha Ruffieux, Michel Blanc (Honey For Petzi, Bombers, Polar) et Nicolas Pittet (Moonraisers, Marc Aymon). De cette fructueuse collaboration résulte onze morceaux épurés où le minimaliste et les mélodies cèdent parfois la place à un déluge de distorsion.
On n’est pas peu fier de pouvoir vous présenter ce jeune hollandais, âgé d’un quart de siècle seulement, qu’on surnomme déjà le fantôme de Syd Barett. Fasciné par cette période de la fin des sixties, il a composé son « Cabinet Of Curiosities » avec l’espoir de le voir un jour trôner parmi les chefs-d’œuvre qui l’ont marqué. Quelque part entre le « Sgt Pepper Lonely Hearts Club Band » des Beatles et « The Piper At The Gates Of Dawn » de Pink Floyd. Un immanquable de la saison, même si c’est un lundi !
Après avoir fait planer les esprits avec une folk douce dans le groupe Zorg, deux de ses protagonistes reviennent, fûts saillants et guitares grinçantes. Aujourd’hui Zorg s’est métamorphosé en John Dear. Dans son bleu de travail, il bouffe du cambouis et recrache un dirty-blues qui donne tout son sens à l’adage « Le calme avant la tempête ». Entre Seasick Steve et les Black Keys.
Le post-rock de ce duo californien est très mélodique et prend les codes du genre à contre courant. A deux sur scène, un batteur et un guitariste muni d’une double manche (basse / guitare) et de nombreuses pédales, ils donnent l’impression d’être six, tellement leur son est riche. Alors que Kristian Dunn empile les loops, Tim Fogarty assure la rythmique avec un jeu carré et ingénieux.
Il est un des joyaux de la scène alternative helvétique. Sous ce pseudo se cache Fabian Sigmund, un Zurichois à l’allure frêle et sympathique qui triture le blues avec génie. Avec sa voix cristalline et son doigté guitaristique impressionnant, il transcende le genre en lui apportant une touche psychédélique et des passages parfois bruitistes, souvent crasseux. Si vous l’avez manqué au Paléo cette année, c’est l’occasion de vous rattraper.
Cousin éloigné de Poor Record, le label Peski, basé à Cardiff, nous fait découvrir trois de ses artistes. La dream pop aérienne de Gwenno, productrice, DJ et chanteuse. L’électro anti conformiste de Y. Pencadlys et la folk électrique psychédélique du troubadour taciturne David Mysterious. Du lourd!
Auteur du superbe disque “L’amour et la joie“, sorti en février, la Parisienne pourrait bien réussir la pari de redorer le blason de la chanson dite “francophone“. Entre ombre et lumière, les morceaux de Robi s’épanouissent dans la profondeur, rappelant ses nobles influences, Beth Gibbons, PJ Harvey ou Joy Division en tête.
Lune Palmer est un groupe de Lausanne, en Suisse. Formé en 2006, il est actuellement composé de Vladimir Skrivan (voix, guitare, clavier, machines) et Michael Gaio (guitare, machines, graphisme). Le groupe a réalisé un premier EP en 2010, Light Light Ep, masterisé par l’artiste noise Francisco Meirino. Leur premier album, The Rooster, vient de sortir. Pour les fans de Portishead, Blond Redhead, Radiohead, Sigur Rós, Múm, Jesu.
Les post-rockers de The Shaking Sensations de Copenhague se sont initialement formés pour s’échapper à leur vie monotone et triste aux confins du Danemark de l’ouest. Ces 5 musiciens ne savaient pas encore qu’ils allaient former un groupe de post-rock prometteur dans le sillage de quelques grands frères prestigieux comme Mogwai ou encore Godspeed You! Back Emperor.
Derrière le projet CALLmeKAT se cache la crème de la musique danoise, Katrine Ottosen. Avec son nouvel album “Where The River Turns Black” la jeune danoise avance un peu plus dans la forêt de son imagination. Ses claviers vintage y font ami-ami avec son exceptionnel timbre de voix… D’ailleurs, le sobriquet “pop alternative” semble bien limité pour décrire sa musique et plus largement l’univers sonore aux multiples facettes de cette talentueuse chanteuse.